La dépression est une maladie nerveuse. Sans un terrain affaibli elle ne pourrait s’installer. J’ai vu des personnes vivre des situations épouvantables sur de longues années sans pour autant faire une « dépression », et d’autres s’écrouler pour des évènements semblant secondaires (je fais partie de ces dernières). Ce qui fait la différence c’est le terrain. Une personne ayant beaucoup d’énergie peut traverser une période difficile, s’effondrer même, mais finalement ressurgir de son épreuve avec peu de soins et d’aide. Mais si son terrain s’affaibli, elle peut alors glisser dans une pente sans fin. Ce phénomène arrive généralement par le biais du manque de sommeil réparateur, qu’il soit dû à un excès de stress (affectif, professionnel ou autre) ou à une maladie chronique, des prises de médicaments psychotropes ou de drogues diverses dont l’alcool. Il faut trouver le juste compromis afin de pouvoir surmonter les angoisses et dormir, sans entrer dans une dépendance.
Tout d’abord il faut savoir que pour guérir, il faut en avoir le désir profond. Notre corps nous obéit plus que ce que nous croyons. C’est tout le travail à faire en thérapie afin de décrypter l’origine psychologique, émotionnelle et évènementielle de la dépression, et mettre en œuvre une nouvelle façon de vivre, mieux adaptée à ses besoins et capacités. Les thérapies comportementales et cognitives sont très intéressantes pour aider à passer dans une nouvelle étape de sa vie.
Mais dans le même temps il faut appliquer certaines règles hygiéno-diététique pour redonner à l’organisme toutes ses forces, et ainsi toutes ses chances de sortir plus vite de l’épreuve.
1- Sélectionner parmi vos amis au moins une personne positive envers vous, capable de vous accepter sans jugement. Il faut savoir que si personne ne doit porter votre fardeau, un peu de chaleur et de lumière sur le chemin c’est très réconfortant.
2- Bien s’oxygéner : aller dans un lieu où la nature domine, pratiquer une activité physique adaptée à vos capacités physiques.
3- Ceci doit favoriser un meilleur sommeil. Pour éviter les somnifères, essayer la phytothérapie (les plantes) moins dangereuses et créant moins de dépendance (à voir avec votre pharmacien et votre médecin).
4- Réglementer les heures de prises alimentaires en vous obligeant à prendre midi et soir, deux vrais repas. Pas question de jeûner, cela diminue la volonté de s’en sortir.
5- Eviter les aliments fatiguant l’organisme (trop gras et trop sucrés)
6- Eviter d’entrer dans les addictions surtout celles diminuant la volonté : alcool, drogues,…
7- Se rappeler que le chocolat est un bon antidépresseur mais seulement s’il ne prend pas la place des bons aliments, et s’il reste pris dans des proportions raisonnables (ne pas dépasser la demi tablette en période de crise !). A ce propos, il est bon de manger une pomme ou un agrume après avoir succombé au chocolat, ils sera ainsi mieux assimilé et les effets nocifs mieux neutralisés.
8- Veillez à prendre au moins un légume à chaque repas
9- Choisissez une alimentation riche en acides gras oméga 3 pour votre cerveau (voir ci-dessus)
10- Consommez des aliments riches en magnésium (voir articles ci-dessous sur la spasmophilie)
11- Vérifiez que vous ne faites pas une anémie par manque de fer, si oui, appliquez les conseils donnés dans l’article ci-dessous sur le fer.
12- Si vous êtes boulimique, sachez que plus votre alimentation sera déséquilibrée et carencée et plus vous aurez un comportement alimentaire compulsif. Il faut donc régler le problème à sa source (voir article sur la boulimie).
13- Vérifier que vous n’avez pas une intolérance à la caséine (protéines du lait de vache et dérivés), au gluten (protéine du blé-seigle-orge-avoine), ou à d’autres protéines alimentaires. Les tests biologiques sont aujourd’hui plus précis qu’autrefois. Dans le cas où les résultats sont positifs, seul l’exclusion total de l’aliment incriminé peut apporter de bons résultats.
14- Manger léger le soir, attendre 2 h après le repas avant de vous allonger. Si vous dormez l’après-midi après le repas, mettez vous en position demi assise mais les jambes allongées.
Et sachez que tous les problèmes peuvent trouver une solution.
Tout d’abord il faut savoir que pour guérir, il faut en avoir le désir profond. Notre corps nous obéit plus que ce que nous croyons. C’est tout le travail à faire en thérapie afin de décrypter l’origine psychologique, émotionnelle et évènementielle de la dépression, et mettre en œuvre une nouvelle façon de vivre, mieux adaptée à ses besoins et capacités. Les thérapies comportementales et cognitives sont très intéressantes pour aider à passer dans une nouvelle étape de sa vie.
Mais dans le même temps il faut appliquer certaines règles hygiéno-diététique pour redonner à l’organisme toutes ses forces, et ainsi toutes ses chances de sortir plus vite de l’épreuve.
1- Sélectionner parmi vos amis au moins une personne positive envers vous, capable de vous accepter sans jugement. Il faut savoir que si personne ne doit porter votre fardeau, un peu de chaleur et de lumière sur le chemin c’est très réconfortant.
2- Bien s’oxygéner : aller dans un lieu où la nature domine, pratiquer une activité physique adaptée à vos capacités physiques.
3- Ceci doit favoriser un meilleur sommeil. Pour éviter les somnifères, essayer la phytothérapie (les plantes) moins dangereuses et créant moins de dépendance (à voir avec votre pharmacien et votre médecin).
4- Réglementer les heures de prises alimentaires en vous obligeant à prendre midi et soir, deux vrais repas. Pas question de jeûner, cela diminue la volonté de s’en sortir.
5- Eviter les aliments fatiguant l’organisme (trop gras et trop sucrés)
6- Eviter d’entrer dans les addictions surtout celles diminuant la volonté : alcool, drogues,…
7- Se rappeler que le chocolat est un bon antidépresseur mais seulement s’il ne prend pas la place des bons aliments, et s’il reste pris dans des proportions raisonnables (ne pas dépasser la demi tablette en période de crise !). A ce propos, il est bon de manger une pomme ou un agrume après avoir succombé au chocolat, ils sera ainsi mieux assimilé et les effets nocifs mieux neutralisés.
8- Veillez à prendre au moins un légume à chaque repas
9- Choisissez une alimentation riche en acides gras oméga 3 pour votre cerveau (voir ci-dessus)
10- Consommez des aliments riches en magnésium (voir articles ci-dessous sur la spasmophilie)
11- Vérifiez que vous ne faites pas une anémie par manque de fer, si oui, appliquez les conseils donnés dans l’article ci-dessous sur le fer.
12- Si vous êtes boulimique, sachez que plus votre alimentation sera déséquilibrée et carencée et plus vous aurez un comportement alimentaire compulsif. Il faut donc régler le problème à sa source (voir article sur la boulimie).
13- Vérifier que vous n’avez pas une intolérance à la caséine (protéines du lait de vache et dérivés), au gluten (protéine du blé-seigle-orge-avoine), ou à d’autres protéines alimentaires. Les tests biologiques sont aujourd’hui plus précis qu’autrefois. Dans le cas où les résultats sont positifs, seul l’exclusion total de l’aliment incriminé peut apporter de bons résultats.
14- Manger léger le soir, attendre 2 h après le repas avant de vous allonger. Si vous dormez l’après-midi après le repas, mettez vous en position demi assise mais les jambes allongées.
Et sachez que tous les problèmes peuvent trouver une solution.
Après avoir découvert les causes comportementales ayant entraîné votre dépression, ce que vous allez programmer dès à présent doit être destiné à vous faire vivre d’une manière mieux adaptée à vos possibilités.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire