Notre potentiel créatif est au-delà de ce que nous imaginons. La réalité de chaque jour n’est jamais le fruit du hasard, mais le résultat de ce qui a été pensé, dit et fait.
On sait tous plus ou moins que, comme le dit si bien le proverbe, « on récolte ce que l’on sème », et j’ajouterai : ce qu’on semé nos parents et grands parents, en bien comme en mal. A ce jour nous avons donc derrière nous une banque de bons et mauvais points qui détermine notre capital disponible pour réaliser nos vœux. Si nos vœux génèrent de bons résultats pour tous, nous augmentons nos bonus, si nos réalisations génèrent des ennuis pour les autres nous prenons des amendes et diminuons notre capital.
D’où l’importance de réaliser le pouvoir des mots, et celui de nos pensées superficielles et profondes, le futur dépend de ceux là aussi.
Prenons les paroles par exemple : Des études ont montré que le cerveau semble obéir de manière basique au mot lui-même, sans vraiment tenir compte des autres mots l’accompagnant.
Exemple : il vaut mieux dire « j’ai bien pensé à tout ? » plutôt que « je n’ai rien oublié ? ». Le cerveau va à l’essentiel, et si je veux qu’il me rappelle ce que je risque d’oublier, il vaut mieux que je prononce le mot représentant l’ordre que je lui donne c'est-à-dire « penser à tout ».
Mais ce n’est pas encore suffisant. Une personne peut faire tout son possible pour avoir des actes et des paroles positives, si à l’intérieure d’elle-même elle a des pensées négatives, elle diminuera les effets de sa positivité extérieure, voir l’annulera.
On sait tous plus ou moins que, comme le dit si bien le proverbe, « on récolte ce que l’on sème », et j’ajouterai : ce qu’on semé nos parents et grands parents, en bien comme en mal. A ce jour nous avons donc derrière nous une banque de bons et mauvais points qui détermine notre capital disponible pour réaliser nos vœux. Si nos vœux génèrent de bons résultats pour tous, nous augmentons nos bonus, si nos réalisations génèrent des ennuis pour les autres nous prenons des amendes et diminuons notre capital.
D’où l’importance de réaliser le pouvoir des mots, et celui de nos pensées superficielles et profondes, le futur dépend de ceux là aussi.
Prenons les paroles par exemple : Des études ont montré que le cerveau semble obéir de manière basique au mot lui-même, sans vraiment tenir compte des autres mots l’accompagnant.
Exemple : il vaut mieux dire « j’ai bien pensé à tout ? » plutôt que « je n’ai rien oublié ? ». Le cerveau va à l’essentiel, et si je veux qu’il me rappelle ce que je risque d’oublier, il vaut mieux que je prononce le mot représentant l’ordre que je lui donne c'est-à-dire « penser à tout ».
Mais ce n’est pas encore suffisant. Une personne peut faire tout son possible pour avoir des actes et des paroles positives, si à l’intérieure d’elle-même elle a des pensées négatives, elle diminuera les effets de sa positivité extérieure, voir l’annulera.
En effet, la raison d'ETRE intérieure (le sens profond de notre existence), sera toujours prévalente sur la raison d'être extérieure (l'objectif à atteindre).
Comme le dit un proverbe de sagesse arabe :
"Tu peux avoir ce que tu veux, mais ce n'est pas forcément avantageux" !
Donc, avant de se lancer dans la visualisation d’un objectif, il est recommandé de bien vérifier que tout est OK au niveau de la pensée profonde, que le but à atteindre est en HARMONIE avec notre "MOI DIVIN" et la "SOURCE DE TOUTE VIE".
Ensuite, il faut voir le projet sous tous ses aspects, sans rien oublier pour ne pas avoir de mauvaises surprises. J’en ai fait un jour l’expérience.
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