A force de chercher des preuves de l’existence ou de l’absence de ce qu’on appelle communément « Dieu », j’ai fini par trouver des supports personnels pour mes croyances : prémonitions, rêves éveillés, flash sur d’hypothétiques vies passées (???), et surtout des sensations de bonheur indicible face à la nature sauvage, témoignant de l’amour incommensurable d’une intelligence universelle.
Bref, pas de quoi en faire une nouvelle bible, mais suffisant pour m’équilibrer à l’intérieur et me laisser des rayons d’espoir et de soleil dans les périodes où tout devient difficile à l’extérieur.
La conclusion de tout cela ? Et bien je pense que notre jolie planète est une terre d’entraînement pour des âmes devant grandir dans la liberté de choix. Mais il y a un prix à payer pour toutes ces expériences, c’est la souffrance. Elle est notre système d’alerte, elle seule paraît malheureusement nous arrêter et nous forcer un jour ou l’autre à réfléchir par nous même pour trouver les solutions, loin des gourous de toute sorte, des grands prêtres de la mondialisation et des religions diverses.
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